joi, 5 ianuarie 2012

Microblogue-Un outil d’interaction quasi simultanée entre apprenant et enseignant



De nos jours, le professeur peut faire partager ses apprenants des ressources  immédiatement exploitables grâce à la téléphonie et à l’Internet mobile. Le microblogue permet de publier des textes de type ’’carnet de voyage’’ ou ’’journal intime’’ sous un format très court. L’objectif des microblogueurs est de partager avec toute personne inscrite dans le carnet d’adresses. Si on possède un compte sur un reseau social de microoblogue on reçoit en permanence des informations sur sa page principale, concernant toute activité de ses ami. Le mocroblogue est un outil d’interactions instantanées, donc il n’encourage pas l’enseignant qui a l’habitude de préparer son discours.
De nos jours les apprenants ont l’habitude de survoler des pages sur Internet, donc le microblogue permet une expression et une interaction écrite immédiates. La diffusion de messages scripto-visuels sans complexes incite à la lecture et à l’écriture. Le problème serait la qualité de l’écrit, mais pour cela le professeur peut trouver des moyens de remédiation. On doit adapter la pédagogie au réseau social sur lequel les échanges faits sont d’ordre ludique. Pour faire tout cela on doit introduire un suivi d’activité. Dans la création de pages associées à son profil le professeur peut fournir un ensemble de ressources en FLE, nécessaires à un apprentissage de la langue. L’avantage c’est que ces pages restent visibles en un clic àpartir du menu.
On doit rendre le lieu d’échanges sympathique, et être toujours prêt à se connecter depuis un ordinateur ou un téléphone mobile. De cette façon la construction des savoirs se fait par l’interaction avec ses pairs, dans un environnement virtuel, à travers d’un écran. L’enseigant met à disposition de l’apprenant de FLE tous les élèments nécessaires pour le développement de son savoir.
Le microblogue permet à l’enseignant de garder un contact direct avec ses apprenants et de leur faire partager des ressources consultables à tout moment, échangeables à volonté et rapprochant les personnes qui veulent parler la même langue. Un professeur qui utilise le microblogue donne l’impression qu’il est toujours disponible pour donner des conseils et des suggestions aux élèves. Mais, parfois le fait d’être toujours prêt à se connecter et discuter avec ses élèves, peut mener à une baisse de l'autorité du professeur, car l’élève a l’impression qu’il parle avec un de ses camarades. Donc, communiquer avec ses élèves sur un microblogue c’est quelque chose de très moderne et intéressant, mais en même temps, assez risqué.






                                                                                                                             

Fiche de travail pour la classe




1)Comment cette chanson vous fait sentir ? Cochez les sentiments qu’elle vous inspire :
mélancolique                    calme                           heureux
triste                                 joyeux                        déprimé
sérieux                              révolté                        énervé                      


2)Complétez les trous avec les formes verbales que  que vous entendez dans la chanson :
 Et si tu n'.............. pas
 Dis-moi pourquoi j'..............
 Pour traîner dans un monde sans toi
 Sans espoir et sans regret
 Et si tu n'.............. pas
 J'..............  d'inventer l'amour
 Comme un peintre qui voit sous ses doigts
 Naître les couleurs du jour
 Et qui n'en revient pas
 Et si tu n'..............  pas
 Dis-moi pour qui j'..............
 Des passantes endormies dans mes bras
 Que je n'.............. jamais
 Et si tu n'.............. pas
 Je ne ..............  qu'un point de plus
 Dans ce Monde qui vient et qui va
 Je me ..............  perdu
 J'.............. besoin de toi
 Et si tu n'..............  pas
 Dis-moi comment ..............
 Je ..............  faire semblant d'être moi
 Mais je ne serais pas vrai
 Et si tu n'..............  pas
 Je crois que je l'aurais trouvé
 Le secret de la vie, le pourquoi
 Simplement pour te créer
 Et pour te regarder
 Mm mm mm mm mm mm mm
 Mm mm mm mm mm mm mm
 Et si tu n'..............  pas
 Dis-moi pourquoi j'..............
 Pour traîner dans un monde sans toi
 Sans espoir et sans regret
 Et si tu n'.............. pas
 J'..............  d'inventer l'amour
 Comme un peintre qui voit sous ses doigt
 Naître les couleurs du jour
                      
                                   
           
           
           
           

miercuri, 4 ianuarie 2012

La chanson en classe de FLE


      
     De nos jours, les professeurs de français souhaitent de plus en plus introduire la chanson dans leur salle de classe, car la chanson est ancrée dans la  vie. Elle fait autant partie du patrimoine socioculturel d’un pays que ses monuments historiques. La chanson est présente par tout et il arrive parfois qu’on traîne toute une journée dans sa tête une petite phrase musicale qui ne veut pas s’en aller.
      Il est déjà connu que les domaines d’apprentissage couverts par l’exploitation didactique des chansons sont ceux spécifiques à la formation des capacités de réception d ‘un message, mais les objectifs pédagogiques doivent être plus généreux La chanson se prête à merveille à renforcer et à soutenir l'apprentissage de la langue, et elle peut être exploitée de plusieurs façons complémentaires. Une chanson peut être sélectionné pour accompagner la présentation et l'étude d'un élément de grammaire : le futur, le subjonctif, les pronoms personnels, etc. La chanson servira de contexte mémorable, de point de référence qui restera inscrit dans la mémoire auditive, et auquel le professeur peut à tout moment faire appel.     
Dans la pratique de la compréhension de l'oral la chanson présente de nombreux atouts : c'est un document authentique, une source d'intérêt et de motivation pour l'élève et un outil facilement disponible.C’est un moyen ludique, motivant et original pour les élèves et leur permet d'avoir accès à la langue française contemporaine, aux cultures francophones et de découvrir le français oral dans toute sa diversité.
            On  peut assigner beaucoup d’objectifs à l’approche globale d’une chanson en classe de langue. En ce qui concerne les propositions méthodologiques concrètes, trois aspects sontt notables
            a) la chanson est principalement utilisée pour viser l’acquisition des compétences linguistiques et de compréhension. On se focalise donc prioritairement sur le texte afin d’en exploiter les données grammaticalles, phonétiques ou thématiques. Le risque est alors de mener une analyse trop essentiellemnt techniciste de la dimension linguistique sans la relier véritablement au sens du morceau.
            b) L’intertextualité est souvent négligée. Il arrive que les références intertextuelles ne soient pas du tout évoquées. On aborde aussi parfois ces références seulement en les signalant, soit en amont( les fiches commencent très souvent par une liste très longue de termes arbitrairement expliqués contenant parfois ces références, sans que celles-ci soient ensuite exploitées), soit prolongement sans lien cohérent.
c) On prête arbitrairement à la chanson la propriété de miroir culturel (et le consensus sur ce point est total). En d’autres termes : parce que ce support est un document authentique, il doit nécessairement refléter la société française. Et le postulat serait valable quelle que soit la chanson choisie. Or, cette dimension de la chanson devrait être abordée à un triple niveau : celui du texte interprété et mis en musique, qui renvoie souvent à des réalités concrètes de la culture française ; celui du morceau choisi, de l’objet-chanson, envisagé en tant qu’entité culturelle produite par un artiste déterminé et inscrite dans un contexte de production donc dans une problématique pragmatique ; celui enfin de l’interculturel évoqué dans le texte du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues (les échos que ce thème et son traitement particulier peuvent susciter chez l’apprenant non français, la problématique identique ou différente selon le contexte, etc.).
            La chanson doit être analysée comme genre de discours en s’appuyant, entre autres, sur les nombreuses publications à ce sujet, afin de distinguer des caractéristiques génériques. Les caractéristiques principales sont: l’articulation systémique de trois composantes(la dimension textuelle, la dimension musicale, l’intérpretation) et l’ancrage fondamental dans le contexte socioculturel de production/réception(une chanson est identifiée par le moment et le lieu de son éclosion, une chanson est destinée à être interprétée et représentée, une chanson relevant à la fois de l’écrit et de l’oral, du texte et de l’interprétation, de la lecture et de l’audition, l’énonciation est engagée dans un jeu très complexe ). Les caractéristiques secondaires de la chanson serainet : la structure formelle(courte, refrain / couplet, la poésie et le jeu sur les sons), le principe intertextuel(dans le texte, dans la mise en musique, dans l’interprétation), le médium qui conditionne les caractéristiques d’une chanson(distinguons version :studio, live, reprise, etc., et médium/support :cd, dvd, internet, fichier mp3, etc.
Une exploitation efficace implique, en s’appuyant sur cette base générique préalablement définie, une méthodologie systématique, cohérente, théorique, à partir de laquelle l’enseignant responsable de sa classe et conscient de son contexte d’enseignement produira la séance méthodologique qui lui paraîtra la meilleure. Il convient donc avant tout, pour lui, d’analyser précisément la chanson choisie et quatre « entrées » doivent permettre de la cerner complètement :
Premièrement, il s’agit de l’entrée thématique :de quel sujet traite la chanson ? Est-elle centrée sur un thème unique ou en aborde-t-elle plusieurs ? Le thème est-il explicitement traité ou de façon suggestive ou allusive ? Le thème est-il spécifique à une époque ou plus universel ? Quels enjeux interculturels ce thème implique-t-il? Peut-on trouver d’autres chansons sur ce thème ?
On doit aussi mentionner l’ entrée stylistique et compositionnelle .Au niveau textuel : le lexique, les registres de langue, le ton (sérieux, provocateur, humoristique, etc.), option réaliste ou métaphorique ; l’énonciation et le jeu des pronoms ; les temps et mode verbaux ; la syntaxe ; la forme textuelle (structure : refrain, couplets ou pas) ; genre particulier (par exemple une lettre) ; la dominante discursive (descriptive, narrative, dialogale, explicative, etc.).Au niveau musical et interprétatif : la mise en musique permet souvent de classer la chanson selon un style reconnaissable : rock, reggae, folk, métal, etc. Prendre aussi en considération le nombre des instruments (et lesquels : guitare acoustique, piano seul ou conjugaison), les effets de voix, etc.
On doi ajouter l’entrée pragmatique .Il convient ici d’appréhender la chanson à la lumière de sa finalité, de l’objectif qui lui est assigné et pour lequel elle a été créée. Composer et diffuser une chanson consiste à agir sur le destinataire. Il semble donc nécessaire de définir, à un moment donné, l’objectif affiché par la chanson (l’identifier ne signifie cependant pas admettre qu’il est nécessairement atteint, cela relève de l’avis et de l’évaluation) : divertir, faire vendre (la logique économique implique pour tous les artistes cette fonction mais ce qui est une condition importante de survie pour certains devient pour d’autres une logique appliquée méthodiquement en reproduisant des savoir-faire et bien souvent au détriment de la qualité et de l’originalité), inciter à réfléchir ou dénoncer, parodier, faire rire, etc. Il faut aussi se demander si la chanson a été créée pour un public spécifique et identifié.
Dernièrement, on on peut parler de l’ Entrée intertextuelle. L’analyse est à mener autant au plan du texte (référence explicite à une autre chanson, à des événements, à des personnages, à d’autres artistes, etc.) qu’à ceux de la mise en musique et de l’interprétation (intonations explicites, effets de voix, etc.). Ce processus référentiel peut aussi se retrouver dans des aspects plus extérieurs à l’oeuvre proprement dite : les costumes, les attitudes, le jeu de lumière en concert, etc.
Insistons bien sur le fait que l’articulation systémique des trois composantes (texte, musique, voix) occupe une position supérieure : elle est à analyser au sein de chaque entrée. Par exemple, un thème traité dans le texte peut être accentué par tel instrument.
Une difficulté importante consistant, pour les enseignants non français, à cerner l’ancrage socioculturel de la chanson qu’ils ont choisi d’étudier, il importerait de mettre à leur disposition des clés concrètes pour contextualiser (un guidage réellement efficace permettant une approche des sites Internet nombreux - maison de disques, artistes, magazines, etc. -, mais pourquoi ne pas imaginer un serveur de ce type assuré par le Ministère des Affaires Étrangères et proposant une banque de données actualisée (passages télé, nombre d’albums vendus, événement particulier lié à l’émission de la chanson, intertextualité importante pour sa compréhension et enjeux sémantiques qu’elle génère dans le morceau, etc.).
Pour exploiter une chanson de façon aussi complète que possible il y a quelques étapes qui doivent être respectées. Ainsi, il importe d’avoir une vue d’ensemble à partir de laquelle il est ensuite toujours nécessaire d’opérer des choix.
            La primière étape est représentée par e choix de la chanson. Celle-ci doit dépendre de l’enseignant, de ses goûts, du public auquel il enseigne, de son contexte institutionnel d’enseignement (programmes) et de contraintes diverses (matérielles, culturelles…), etc. Il identifie la version : studio, live, reprise, remix…
Puis on doit contextualiser c’est-à-dire qu’on doit utiliser les nombreuses ressources référencées(sites Internet) pour situer au mieux l’artiste et le morceau dans le contexte socioculturel français : Auteur/Compositeur/Interprète, biographie, photos, genre musical selon lequel l’artiste est classé (rap, rock, variété…), discographie, titre de l’album, nombre d’exemplaires vendus, maison de disque, événement particulier lié à la chanson (interdiction, procès) ? Existe-t-il un clip ? Quels passages télé ? Sur quelle chaîne (« Taratata » sur France 4 n’est pas identique à « Star Académy » sur TF1) ; quelles sont les autres versions de ce morceau ? etc.
L’étape suivante consiste en l’analyse de plusieurs entrées : thématique, stylistique, pragmatique et intertextuelle. On doit établir quelle est l’originalité de la chanson? Quels enjeux socioculturels implique-t-elle ? Comment le sens naît-il de l’interaction des trois constituants du système ? etc.
On doit aussi définir les objectifs et les compétences visées. Les objectifs ne sont pas arbitrairement et artificiellement inclus dans la chanson, leur définition relève de l’enseignant qui peut s’appuyer sur le document synthétisant le CECRL : savoir général, savoir langagier, perspective actionnelle,etc. Cette démarche implique donc nécessairement de privilégier certaines entrées préalablement analysées.
Une autre étape consiste en la construction d’une séance(exploiter la chanson enclasse). La chanson n’induit pas a priori son exploitation méthodologique ; de nombreuses options sont envisageables qui, là encore, relèvent exclusivement de l’enseignant et des objectifs qu’il s’est fixés et des stratégies d’enseignement qu’il adopte (compréhension de l’oral et de l’écrit, production orale et écrite). Quel ordre choisir? Il n’y a pas une méthode unique d’approche d’une chanson. On peut commencer par la faire écouter, mais on peut aussi faire découvrirles paroles avant l’écoute. Tout dépendra de la chanson et de la sensibilité du formateur. Quelles activités mener ? Elles peuvent consister en des activités avant l’écoute(partir des connaissances ou des expériences des apprenants, utiliser le titre de la chanson, employer des extraits de la chanson,etc.), en des activités simultanées(pendant l’écoute), en des activités d’analyse, de production orale ou écrite.
Il y a une typologie d’exercices qui permettent la compréhension du texte. Il s’agit de l’écoute sans texte et du texte sans écoute.
 En ce qui concerne l’écoute sans texte, il y a plusieurs grilles qui permettent au professeur d’organiser des activités en classe. Les grilles d’écoute active vont permettre de définir la situation. Par des questions au groupe classse, on fera compléter au tableau une grille avec des questions comme par exmeple : où ?, qui ?, quand ?, quoi ?, en demandant chaque fois de justifier les réponses par les repéres ou les indices qui ont mis sur la voie. Les grilles d’impressions et de sentiments veulent découvrir quelle est l’impression dominante qui se dégage de la chanson, et détérminer les élèves justifier leurs réponses. En ce qui concerne les grilles thématiques, leur but est de voir si l’élève est capable de dire quels sont les thèmes traites( pour cela on peut proposer une liste  de thèmes dont seus certains sont traités dans la chanson et de demander aux apprenants de les chocher). On peut aussi utiliser des grilles lexicales, comme par exemple une grille qui comportera non seulement des mots et des expressions réellement contenus dans le texte, mais aussi des mots qui n’y apparaissent pas ; l’apprenant sera demandé de cocher ceux qu’il a vraiment entendu. Il ya  aussi des grilles ’’Vrai/Faux’’ qui contiennet une liste d’affirmations portant sur le contenu du texte, et les appreants doivent  cocher dans la casse corresponjdante si l’affirmation est vraie ou fausse. Un autre exercice très utile est le repérage des mots qui suppose demander les apprenants de citer après une première écoute , tour les mots qu’ils ont retenu. Après écrire tous les mots au tableau on doit essayer de faire trouver retrouver le contexte dans lequel ils ont été entendus. On peut aussi utiliser le repérage de la structure vide- pour cela, dans un premier temps on annoncera avant la première écoute que les élèves devron essayer de dessiner sous forme de rectangles et de carrés, la structure vide de la chanson ; les rectangles représenteron les refrains et les carrés, les couplets. Dans un second temps, on procédera àune seconde écoute du premier couplet et du premier refrain. On demandera aux élèves de fixer leur attention sur la longueurn  des phrases, et de les représenter par un trait de longueur proportionelle. Puis on comparera les résultats et on essaiera d’obtenir un consensus.
Pour ce qui est du texte sans écoute , cette approche permet un travail approfondi sur le sens ou sur une partie du sens. Les écoutes successives servent à affiner la compréhension et permettent à l’apprenant de profiter plus sereneiment de la mélodie. Il y a beaucoup d’ exrecices qu’on peut utiliser dans cette situation. Par exemple on peut utiliser le remplissage de la structure vide-pour cela on distribuera la structure vide de la chanson, accompagné des paroles dans le désordre. Les élèves placeront sans doute d’abord le refrain, puis ils essaieront de reconstituer un texte cohérent. On comparera les résultat, en faisant justifier les choix. Un autre exemple d’activité serait la recherche des inconnus(on distribuera le texte intégral et dans un premier temps, on fera indentifier tous le mots connus et on demandera de repéter les mots totalement inconnus. Puis on demandera aux élèves de proposer, grâce au contexte des explications plausibles. On peut aussi utiliser le texte lacunaire qui consiste en distribuer le texte amputé d’une catégorie de termes( lexique supposé inconnu, les occurances grammaticales intéressantes, etc) puis on demandera des propositions permettant de compléter les mots manquants. Une autre activité est le repérage des personnes( on pourra entourer tous lles pronoims personnels du texte et demander de trouver qui ils représentent). On peut aussi utiliser les regroupements lexicaux- si le texte de la chanson s’y prête on fera rechercher ytout le lexique se rapportant à un même thème. Un autre activité est le lexique éparpillé qui suppouse la présentation de la structure de chaque phrase de chaque couplet et du refrainb, sous foorme de cases vides à remplir. Les seules indications données seroint quelques mots de chaque vers. La grille sera accompafnée d ;une liste de vocabulaire classé par catégoriw grammaticale et on demandera aux apprenants de completer les cases vides à l’aide des mots proposés. Puis on comparera les productions avant d’écouter la chanson.
Chaque chanson est un document authentique de langue et de culture qui n'a pas été créée à l'usage de l'apprenant étranger. Elle offre une entrée dans la langue française et tout ce qu'elle véhicule: une façon d'être, de sentir  et de réagir au monde.D’ailleurs ,cette approche socoiculturelle permet d'entrer dans une certaine mesure dans ce que c'est que d'être francophon de nos jours. C’est pour cela que la chanson francophone doit être mise au profit des apprenants et le premier contact avec celle-ci doit se produire en classe de FLE . Les chansons permettent de suivre les tendances du français. En écoutant des chanteurs et des groupes populaires, il est possible d’entendre le langage de la rue sans être en France, ce qui est utile lorsqu’on enseigne à l’étranger. Les chansons proposent une approche du français plus diversifiée que celle des médias et font accéder à des pratiques qui ne sont pas toujours représentées à la télévision et à la radio.

luni, 2 ianuarie 2012

Analyse d'un manuel de FLE


La langue française
L1 Coup de coeur
Manuel pour la XI-ème classe
Auteur Dan Ioan Nasta
Maison d'édition Corint

            Ce manuel est bien organisé. Il est composé de huit unités, chacune traitant un thème prévu par le programme national de français (par exemple: l’adolescence, l’égalité hommes-femmes, la technologie, la presse, etc.). Les unités à leur tour sont très bien structurées. Chacune commence avec une page qui annonce la problématique, énonce les objectifs d’acquisition et les notions-clés, et contient une image évoquant le thème dominant. Puis il y a deux pages qui contiennet le texte de départ pour le thème à discuter; le texte est accompagné d’un lexique d’appui, des repères de compréhension écrite  et des éléments de civilisation éclairant le texte. L’unité contient aussi deux pages d’activités lexicales qui permettent aux étudiants de travailler sur le sens des mots; ces deux pages contiennent des exercices lexicaux, une approche contextuelle des mots-clés et des supports-image. Puis il y a quatre pages de grammaire et communication. Ces pages contiennent un rappel d’acquis, un tableau avec la mise en forme des nouvelles connaisances grammaticales, un tableau qui permet aux étudiants de dégager l’essentiel, des exercices d’application, actes de parole et opérations énonciatives, un support-image et des simulations ou des jeux de rôle. L’unité contient aussi deux pages d’élargissement culturel qui présentent un document authentique comme texte de lecture, un vocabulaire d’appui, un guide de lecture, une mise au point historique et des sujets de débats. Chaque unité finit avec une page de synthèse qui contient une image emblématique et un texte révélateur qui fait le point sur la question.
            Il est aussi important de mentionner que chaque partie d’une unité se distingue par un code chromatique qui facilite l’emploi du livre( les couleurs utiliées sont aggréables et ne fatiguent pas l’oeil). Le maunel contient aussi un bilan après l’unité quatre et après l’unité huit qui permet aux étudiants de vérifier ce qu’ils ont appris. On doit aussi remarquer qu’à la fin du manuel on trouve trois grilles avec des mots de liaison pour structurer l’exposé, des munitions pour l’échange verbal et des connecteurs. Aussi, à la fin on trouve la carte de la France, un vocabulaire français-roumain et un tableau synoptique.
            Ce que le manuel n’a pas c’est un CD, donc il ne contient pas des activités d’écoute, ce qui signifie que le manuel n’aide pas l’étudiant à developer ses compétences de comprendre un texte oral authentique.
En conclusion ce manuel représente un bon instrument pour  le professeur et pour les étudiants. Je l’utiliserai car il contient des textes authentiques, traite les thèmes prevus dans le programme national, contient des éléments visant la culture française, les images sont assez nombreuxes mais sans faire le manuel parraître trop chargé, le contenu et les images sont appropriés à l’âge des élèves. Le manuel permet aux étudiants de  développer leurs connaissances de grammaire et d’enrichir leur vocabulaire et leurs connaissances concernant la culture française.
 




La leçon zéro


Plan de leçon

École: Ştefan cel Mare, Vaslui
Professeur : Boţ Andreea-Maria
Objet : La langue française
Nom de la séance : La leçon zéro
Date :15 Septembre 2012
Classe : V-ème ( I-ère année d’étude)
Nombre d'éleves: 25
Publique : Captif
Niveau : Débutant( 2 heures par semaine)
Objectif général : Se connaître 
Objectifs spécifiques :
              Savoir se présenter ;
              Repérer le français parmi d’autres langues ;
              Vaincre la peur face à l’apprentissage d’une nouvelle langue ;
              Définir les objectifs à atteindre dans l’apprentissage du français .
Moyens didactiques: des images, CD

Objectif
Activités
Description
Modalité   
  de travail
Durée






Se connaître






Savoir se présenter


Je salue et je me présente premièrement  en français et puis dans la langue maternelle des élèves. Puis je demande chaque élève de saluer et de dire son nom en français et de demander le nom de son camarade( je leur rappelle comment se présenter et comment demander le nom d’une autre personne en français et j’ écris la question (’’comment t’appelles-tu ?’’) et la réponse(’’ je m’appelle...’’) sur le tableau noir pour qu’ils les retiennent. Après cela je parle de ce que je me suis proposé de faire pendant la leçon ;






Par grand groupe au debout  et puis individuel-lement








  12’


Repérer le français parmi d’autres langues
Je fais écouter un enregistrement comportant des énoncés en différentes langues étrangères aux élèves et je leur demande de préciser quelques traits distinctifs du français( en ce qui concerne les sonorités du français, les différents sons, l’accent). Après avoir  écouté, je demande aux élèves d’ énumérer les traits qu’ils ont découvert.



Individuellement



  10’



Vaincre la peur face à l’apprentissage d’une nouvelle langue 
Je vais montrer aux élèves des photos avec quelques monuments  de la France et je vais leur demander d’essayer de nommer les objectives représentés sur les photos ; puis je vais leur demander de raconter d’autres choses qu’ils savent de la France. Donc j’essaierai d’éveiller les connaissances des apprenants en ce qui concerne la culture française. De cette façon j’essaierai de les aider à prendre confiance en eux-mêmes et de prouver qu’il leur sera facile d’apprendre la langue, car ils savent déjà  plein de choses.





Individuellement





  8’





Définir les objectifs à atteindre dans l’apprentissage du français 
Je parle aux élèves du niveau de langue, des connaissances qu’ils doivent acquérir au cours de l'année scolaire ; Je leur donne quelques exemples d’activités qu’on va faire ensemble, je leur parle des méthodes d’évaluation ; On établie ensemble quelques règles à respecter pendant la classe de français : ne pas manquer au cours, arriver à l’heure en cours, faire attention aux explications du professeur,  faire son devoir et le rendre à l’heure, ne pas faire des devoirs pour une autre matière pendant la classe de français.





Par grand groupe





  10’
       Dans les derniers minutes de la leçon je demande aux élèves des suggestions pour les activités en classe, je leur demande ce qu’ils veulent apprendre à propos de la langue et de la culture française, et on decide s’il est possible de faire ce qu’ils proposent.